C’est une prise de conscience assez progressive.
Depuis assez jeune, je me suis intéressé au monde associatif et aux actions de solidarité internationale essentiellement sur les questions d’inégalités nord-sud et de justice sociale.
Avec le temps et en avançant dans les études, je me suis questionné sur la manière de pouvoir agir à travers mon travail au quotidien.
Dans un premier temps, je me suis intéressé au commerce équitable qui pour moi était une première réponse mais une réponse limitée pour deux raisons :
- Le champs d’action restreint
- L’incapacité à modifier les pratiques en profondeur sur toute la chaîne de valeur.
Je me suis donc documenté sur le courant du développement durable qui apportait selon moi une réponse plus globale car il répond à l’ensemble des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux de notre siècle. Elle met l’accent sur leur interdépendance : agir contre le changement climatique, c’est agir pour la justice sociale.